Difficile d’échapper aux anglicismes dans le monde du travail. J’ai beau avoir suivi la même filière de traduction à l’université que mes petits collègues, je ne suis pas sûre d’être habitée par la même fougue qu’eux pour défendre toute intrusion dans la langue de Molière. Mais quelques limites s’imposent tout de même. Continuer la lecture de « Disruptif et compagnie »